Gourmandises 1 – Prélude de choix par Jerema

 

 

RÉSERVÉ A UN PUBLIC AVERTI – TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS EXPLICITES

Bonjour, je m’appelle Patrick. Jeune quinquagénaire, je suis marié avec une femme formidable avec laquelle j’ai eu de merveilleux ébats amoureux mais qui, au fil du temps, se sont mués en sages relations sexuelles. Il y a quelques mois j’ai eu une aventure avec une belle jeune femme de mon entreprise, que je côtoie depuis douze ou treize années. À l’époque Marie préparait un BTS en alternance et depuis ce jour elle ne nous a jamais quittés. Elle s’est mariée, a eu deux enfants et au gré de circonstances particulières, je suis aujourd’hui son amant. Marie est une petite brune charmante, menue et gracieuse. Son sourire éclatant et ses seins lourds la rendent excessivement désirable. Comme tous les jeudis nous déjeunons ensemble. Au cours du repas je lui dis avoir une surprise qui éveille de suite sa curiosité.

– Ah bon… qu’est-ce ? Je lui susurre :

– Un jeu … et peu commun !

– Dois-je m’en réjouir ou m’en inquiéter murmure Marie… c’est quoi… s’il te plait ?

Je lui réponds par un sourire coquin et demande l’addition. Nous partons rapidement et rejoignons notre chambre d’hôtel. Nous sommes nus comme des vers, je la dévore de mille baisers passionnés, lui mange les seins avec ferveur, descends vers son ventre, plonge entre ses cuisses ouvertes et me délecte de son sexe déjà tout trempé . Je suçote son petit bouton à pleines lèvres, lui remonte bien haut les cuisses et joue maintenant avec son délicat puits d’amour. Mes lèvres fusionnent avec son petit trou, ma langue le perfore inlassablement, de plus en plus profondément et imprime un va-et-vient régulier. Je salive abondamment : de troublants gargouillis rythment cette troublante possession. Marie se trémousse sous l’action conjuguée de ma bouche et de ma langue, me prie de continuer ainsi, m’invective et m’encourage vertement :

– Oh oui… ta langue, enfonces la bien, encules-moi avec ta langue… manges le mon petit trou… il est bon hein ? Tu l’aimes mon cul… oui comme çà, encore….

Elle est ainsi Marie, troublante et réservée, volubile et passionnée. Je l’ai éduquée ainsi. Elle me marmonne soudainement :

– C’est quoi cette surprise ?

Je reste figé en elle quelques secondes, sans bouger, ma bouche soudée à son sphincter, ma langue meurtrie par les contractions régulières de son tunnel anal ; elle se relâche, je me libère, me relève et ne réponds pas de suite. Je suis en grande forme, raide comme à vingt ans. Je me dirige vers ma veste et extrais de la poche intérieure une banane d’assez bonne taille. Je sens le feu monter à mes joues de ce que je vais devoir lui dire mais je suis, en même temps, très excité aussi. Marie, les yeux humides, me regarde avec curiosité et me dit d’un air taquin :

– Elle est pour moi ? Je lui réponds :

– Pour toi d’abord… et pour moi ensuite. Son visage se fige d’étonnement d’abord puis s’empourpre et, avant qu’elle ne proteste, je mets un doigt sur ses lèvres et lui décris mon scénario, dans les moindres détails.

– Marie, cette belle banane, je vais la glisser entre tes fesses, entièrement, tu vas la garder en toi et l’embaumer de tes sucs pendant quelques minutes puis je m’allongerai sur le lit. Tu t’accroupiras au dessus de moi, les jambes écartées de part et d’autre de mon visage, les fesses bien ouvertes et ton puits d’amour se plaquera au cœur de ma bouche grande ouverte. Tu veux bien Marie ? Et là je dégusterai ce dessert goûteux avec cette sensation merveilleuse, unique et obscène… Oh oui Marie, la pensée que tu puisses ainsi déféquer directement dans ma bouche offerte, le visage enfoui au creux de ton beau derrière attise et exaspère tous mes sens. Tu devras me laisser déglutir donc me donner ce mets royal par «petites crottes». J’aimerais aussi que tu fasses pipi dans ma bouche ; un pipi généreux et abondant que je boirai avec gourmandise…

Marie me coupe la parole :

– Mais c’est horrible !…. tu veux vraiment que je fasse cela… je n’oserai pas… tu te rends compte de ce que tu me demandes ?

Je l’interromps.

– Marie… j’en ai trop envie… régale moi de ce délice moelleux, goûteux et parfumé de tes chairs les plus intimes … offre moi ton pipi tiède et odorant… Oh si Marie, fais le moi… je t’en prie !

Marie esquisse une moue dubitative, pleine de promesses inavouées et, à cet instant, j’ai su que j’avais gagné.

– Je veux bien essayer mais je ne te promets rien… tu es vraiment bizarre tu sais.

Un timide sourire se lit sur son visage. Je ne réplique pas mais lui demande de se mettre à genoux au bord du lit, ce qu’elle fait avec élégance. Elle offre à ma vue un joli postérieur, cambré à merveille. Puis, comme si la pose le suggérait, ses mains écartent les globes de ses fesses, sans gêne aucune, la tête posée sur sa joue droite face à l’immense glace de la penderie, qui nous renvoie toute l’impudeur de cette position. L’invitation n’est pas équivoque, je m’agenouille, me repais visuellement de ce panorama extraordinaire puis promène la pointe de mon nez entre le sillon de ce cratère vivant, m’enivre de ses effluves légères et délicates. Mon souffle chaud le fait frémir puis, tel un enfant ne résistant plus devant l’offrande, ma bouche se soude et s’active à nouveau au cœur de son œillet fripé. Je le tapisse de salive abondante, mes mains déshabillent la fière banane qui devient plus humble sans sa peau… Je la jauge du regard en m’imaginant déguster mon futur dessert. Ma langue inquisitrice force profondément l’anus de Marie. Je la sens enfin prête, son sphincter est devenu souple et élastique. Marie gémit doucement, les mains toujours accolées à ses fesses. Je suce la banane que j’enduis de salive et la pointe sur l’œillet attendri de Marie. Je pousse légèrement. La banane glisse voluptueusement entre les chairs tendres de Marie, qui approuve d’un langoureux… « Oh oui ! »; ses mains se crispent et écartèlent au mieux les deux globes dont la peau blanchit sous l’étreinte, ses reins se projettent en arrière en quête d’une possession profonde. D’une main ferme et habile j’accompagne l’élan passionné de Marie et ce sextoy anal disparait inexorablement au fond de ses entrailles ; mon pouce suit le mouvement et goûte à la moiteur de cette caverne mystérieuse. Marie se referme sur cette capture originale, je perçois les contractions fermes et régulières de cet écrin douillet. Elle se détend, ses bras glissent le long de ses jambes et se posent mollement sur le drap du lit. Je récupère mon pouce emprisonné et le porte à ma bouche avec gourmandise. Puis mes mains prennent le relais de celles de Marie, épousent les globes fermes et charnus et leur impriment un massage langoureux de l’extérieur vers l’intérieur, avec la folle espérance que le fruit qui la possède s’imprègne des fragrances et saveurs de ses chairs si intimes. Sa corolle, tuméfiée, brille d’une multitude de sillons réguliers. Des miettes de banane écrasée ornent l’entrée du cratère sombre et envoutant. D’une langue large et appuyée, j’essuie et nettoie consciencieusement tout l’intérieur des fesses de Marie, qui frissonne sous la caresse. Je la lèche ainsi de longues minutes tant Marie aime cela. Elle me congratule avec tendresse par des :

– Oh oui, c’est bon… continues, t’arrêtes pas… Mmm, encore…

J’ai la langue endolorie, je lui intime de s’étendre, elle se couche sur le dos et s’étire langoureusement. Ses seins lourds aux auréoles dures et gonflées m’inspirent soudainement. Je ne résiste pas à l’envie de me glisser entre ses seins et entreprends de vifs allers et retours. Marie comprime ses deux belles poires autour de ma verge saisie de frénésie. Je me branle furieusement en poussant des râles de plaisir, je sens l’orgasme non loin. Je freine mon ardeur, je ne veux pas jouir maintenant. Je reste ainsi, immobile, lové dans cet écrin tiède et doux à la fois en canalisant ce plaisir qui est tout près d’exploser lorsque Marie me susurre qu’elle a envie de faire pipi. Je la regarde avec gourmandise, mes pensées s’entrechoquent, mon pouls s’emballe, le feu me monte aux joues.

– Vraiment, lui-dis-je.

Elle acquiesce d’un geste du menton. Je me libère de l’étreinte douce de ses seins, me lève et me dirige vers la salle de bains pour chercher une serviette. Marie est sur mes talons et promptement, s’empresse de poser ses fesses sur la lunette des WC.

– Oh non Marie, tu m’as promis quelque chose… ton pipi… dans ma bouche je le veux tellement !

Je la saisis par un bras et fermement la redresse. Sa résistance est faible mais elle me dit, l’air effrayé :

– J’ai honte, ce n’est pas bien, ce n’est pas normal des idées pareilles…

– Oui ma chérie, c’est tout cela mais je le désire tant, viens ! Nous retournons dans la chambre. Je pose la serviette à même le sol, dans l’axe de la glace du placard et m’installe sur le dos la tête à quelques 50 centimètres du bas de la dite glace. Marie hésite et me dit : – Non, pas devant la glace !

– Si devant la glace, Marie. Je veux que tu te regardes en même temps et que tu prennes du plaisir en le faisant. Allez viens ! Je t’en prie et laisses toi aller.

Elle m’enjambe, s’accroupit, se positionne maladroitement et approche son sexe à quelques centimètres de ma bouche grande ouverte. Mes mains soutiennent ses fesses fermement, les coudes bloqués sur le sol. Je suis ému et une pointe d’inquiétude me fait frissonner. La posture de Marie, indécente et troublante, me procure une sensation inconnue à ce jour. Marie a les yeux clos et le visage détendu. Je devine ses pensées et l’implore tendrement :

– Oh oui Marie…vas-y, pisses dans ma bouche maintenant.

Un jet léger et dispersé flirte sur mes lèvres, éclabousse mes joues et s’étale sur mon visage. Marie qui surveille d’un œil discret mais attentif, corrige la position et l’angle de son bassin. Le jet grossit, un vrai déluge, tiède et odorant, se fond sur ma langue, ricoche sur mon palais et gonfle mes joues. J’avale avec peine de grosses gorgées goûteuses et salées. Un haut le cœur me fait éructer, mon visage se noie sous la crue brutale de ce fleuve impétueux. Marie retient son envie. Je reprends mon souffle. Des effluves tièdes et fétides caressent mes narines. Je hume à pleins poumons un air humide, chargé d’une envoutante odeur. L’indécence de la situation m’excite au plus haut point, je me surprends à m’entendre murmurer à Marie :

– Oh oui, encore, c’est trop bon !

La chatte humide de Marie se soude à ma bouche distendue et la fusion de nos lèvres respectives dans ce baiser passionnel, me charge d’adrénaline. Quelques gouttes s’étalent sur ma langue, j’attends avec envie… en vain, c’est déjà terminé. Marie soulève ses cuisses et me dit :

– C’est fini ! Mais ses fesses prennent rapidement le relais et encadrent maintenant mes joues. Ma langue tente de pénétrer son anus et bute sur l’étron que les chairs de Marie tentent d’expulser. Un morceau s’échappe dans ma bouche, je soulève les fesses de Marie et mâche avec application ce mets tiède mais absent de la saveur intime espérée. La porte du tunnel anal de Marie s’ouvre sous mes yeux ébahis, un autre morceau glisse sur ma langue et taquine mes papilles d’un goût poivré. Je le déguste avec plaisir et me surprends à dire à Marie la voix rauque :

– Oh oui… défèques dans ma bouche… comme ça… c’est trop bon… encore! Marie pousse à nouveau et expulse un troisième et dernier étron plus moelleux encore, coloré de larges marbrures douteuses. Je le pétris entre ma langue et mon palais, l’écrase entre mes dents. Un goût âcre et fort imprègne ma bouche conquise, qui déglutit avidement ce festin original. Un plaisir intense aiguise mes sens comme jamais et une merveilleuse sensation de braver l’interdit, de faire des choses honteuses et sales irradie tout mon corps. Je gémis de bonheur, jette furieusement ma bouche entre ses cuisses, lèche avidement son sexe trempé et son petit trou, puis la repousse brusquement et lui intime de s’étendre sur le lit. Elle m’attend, les jambes ouvertes, un préservatif à la main, que j’enfile nerveusement. Je la pénètre d’un seul coup, sauvagement. Notre jouissance est rapide et intense, les lèvres collées à son oreille je l’abreuve de paroles tendres et obscènes :

– Oh oui Marie… ma chérie… c’était bon… On le refera…. Mais en vrai, j’aimerais que tu fasses réellement caca dans ma bouche… et puis un gros pipi, long et copieux.

Marie tente de protester, de s’indigner mais je reste sourd à ses protestations et réitère sans cesse mes envies lubriques :

– Marie, dis moi que tu aimerais pisser et déféquer entre mes lèvres ouvertes, dis le moi, s’il te plait… un gros caca chaud et onctueux que tu m’intimeras de déguster. Tu le feras n’est-pas ? Mes mains entourent affectueusement sa tête, nos regards se jaugent, les yeux dans les yeux : dis-moi oui Marie…

– J’essaierai, me susurre-t-elle… mais faire cette chose, c’est très intime… et trop abject. Faire cela devant toi me gênerait déjà mais dans ta bouche mon chéri, quelle horreur !

– Je veux tout de toi, Marie, tu m’excites tellement, j’ai envie de te boire, de te manger et je veux que tu le veuilles aussi. La prochaine fois….

– Oui, peut-être, me dit-elle. Il est déjà tard, nous passons sous la douche et nous rhabillons rapidement. Nous nous quittons sur le parking de l’hôtel avec un petit baiser furtif et je lui dis amoureusement :

– A jeudi Marie et penses y et n’oublies pas…

Jerema.

(à suivre)

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2 réponses à Gourmandises 1 – Prélude de choix par Jerema

  1. Lagrange dit :

    Il y a vraiment des gens qui parlent comme ça quand ils baisent ?

  2. Claire dit :

    Il a fait fort Jerema. Perso l’épisode de la banane ne m’a vraiment pas branché et puis je trouve les dialogues vraiment peu naturels… Mais l’auteur a montré par la suite qu’il savait évoluer en nous offrant quelques pépites 😉

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